La croisée des chemins pour le maire Modem de Villepreux.
Dans un communiqué désespéré, il fait le choix de la victimisation et de nouveaux mensonges pour faire diversion et ne pas assumer ses responsabilités après la démolition sans autorisation de la piscine municipale et la destruction des millions d'euros de fonds publics et son assignation à comparaître devant le tribunal correctionnel.
C'est un vieux logiciel politique bien connu sorti des cartons.
Les Villepreusiens ne sont pas idiots !
