Rencontre et discussion franches avec Stéphane Mirambeau, Maire de Villepreux

Discussion franche avec Monsieur le Maire

Stéphane Mirambeau

Le 2 décembre 2019.

Suite à son acte de candidature aux élections municipales, Monsieur Le maire de Villepreux, Stéphane Mirambeau, a accepté de recevoir le représentant du mouvement Notre Villepreux le 02/12/2019.

Nous vous exposons le contenu de l’ensemble de la discussion.

Notre Villepreux : Monsieur Le maire, merci de nous recevoir pour cette rencontre démocratique afin d’éclairer vos citoyens et les Villepreusiens sur la situation actuelle de Villepreux et de la Mairie.

Vous nous connaissez depuis longtemps, nous allons vous poser ouvertement et en toute franchise les questions parfois abruptes et embarrassantes pour vous. merci d’y répondre.

Stéphane Mirambeau : c’est normal, j’ai toujours été ouvert et disponible.

Notre Villepreux : Monsieur le maire où en est-on du fonctionnement de la Mairie depuis le départ de vos adjoints et depuis que vous gérez seul la ville ?

Stéphane Mirambeau : Tous les services fonctionnent normalement et j’y veille. Les villepreusiens peuvent se poser des questions de l’utilité des adjoints pendant cette période alors que tous sauf un que je remercie sont partis et donné congé de leur mandat qui leur avait été confié par les villepreusiens. Je trouve cette action irresponsable pour des gens qui figureraient de nouveau sur des listes pour être élus. A leurs dires c’était moi le problème ! pourquoi faire payer aux villepreusiens ! Malgré leur défection les services tournent. Je remplis le mandant jusqu’à son terme. On pourrait se questionner sur leur réelle action pendant toutes ces années.

Notre Villepreux : Monsieur le Maire, nous sommes très mal à l’aise car diverses informations non vérifiées circulent sur vous sur les réseaux sociaux et nous trouvons que l’image de la ville est ternie par cette histoire ? où en êtes-vous de ces affaires ? de quoi il s’agit ? Notre Villepreux s’est refusé à une publicité sur les réseaux sociaux et à discuter de ces questions.

Stéphane Mirambeau : Ce sont de fausses informations et rumeurs. J’ai d’ailleurs été entendu à ce sujet et aucune suite n’est donnée pour le moment. Je note qu’en 12 ans, je n’ai jamais été suspecté de rien et le sujet d’aucune rumeur. Au lieu de propager des rumeurs entendus et sans connaître la vérité, beaucoup devraient s’interroger sur le timing de cette affaire ! Un élu est un homme ou une femme et je ne suis pas différent de la plupart d’entre vous. J’ai effectivement eu des problèmes familiaux au cours de ces dernières années. Ils se sont ajoutés au poids des responsabilités et à la pression de mes fonctions. J’ai trop tiré sur la corde et mon corps s’est rappelé à moi. Bien évidemment, j’ai eu certains excès et j’ai pu avoir des comportements que certains jugeraient déplacés. Ils n’ont eu aucun rapport à la Mairie et avec mes fonctions.

Tout cela est derrière moi désormais, j’ai fait le point dans ma vie et tout va beaucoup mieux.

Je veux désormais repartir avec et pour les Villepreusiens avec qui j’ai travaillé sans relâche depuis 12 ans. Je le prouve encore ces derniers mois en étant le seul à bord et en ayant refusé d’abandonner la commune.

Notre Villepreux : Est-ce que vous vous êtes rendu compte que votre sévérité et la rigidité de votre relation et de vos positions parfois senties comme arrogantes ont pu conduire à cet état.

Stéphane Mirambeau : Il faut être humble avec les plus faibles et arrogant avec les plus forts. C’est ce que j’ai fait durant ces 12 dernières années. Pensez-vous que Villepreux aurait existée ou se serait faite respecter à SQY en étant « gentil » ? Villepreux représente 4% des élus communautaires et de la population et un Maire doit se faire respecter, notamment en adoptant une posture pouvant être certaines fois rigides.

Pour le reste, je ne suis pas arrogant mais si certains m’ont vu comme tel, je le regrette évidemment. La pression portée sur un Maire peut effectivement lui faire prendre certains raccourcis ou adopter une attitude tranchante. C’est d’ailleurs ce que je mentionnais aussi durant l’été en expliquant que certains avaient pu être blessés de cela. Je le regrette bien évidemment.

Il est important de souligner que je n’étais pas seul et les membres de mon équipe soutenaient totalement mes prises de position. Certains d’autres voulaient même que j’aille plus loin. Aujourd’hui, ils expliquent que j’étais le seul responsable en prenant de la distance. De qui se moquent-ils ? Cela signifierait donc que pendant 12 ans pour certains, ils auraient accepté mon caractère sans rien dire et à 6 mois des élections, tout aurait changé ! Ces propos démontrent bien une nouvelle fois que tout était préparé et que ce ne sont que des excuses pour m’avoir lâché.

Aujourd’hui, tout ce qui a été négatif est pour moi et tous les points positifs des deux mandatures pour eux. C’est un manque de courage et de loyauté. Je dois changer en partant de zéro avec de nouveaux éléments et une nouvelle équipe. Mais je ne dois pas oublier non plus qu’il est important d’adopter un nouveau comportement. C’est bien mon intention.

Notre Villepreux : Nous avons l’impression que vous avez mis le genou par terre et qu’ils n’ont pas hésité d’essayer de vous abattre. Pourquoi ?

Stéphane Mirambeau : Vous avez raison. Ils ont été déloyaux. Ils ont été proches de moi.

Ils étaient tous présents à mon mariage et deux d’entre eux étaient mes témoins. Et aujourd’hui ? Ils démissionnent tous de leurs délégations mais ils restent quand même conseillers ? Pour quelles raisons ? Pour bloquer le fonctionnement, pour récupérer des informations, pour se donner de la prestance ? De qui se moquent-ils une nouvelle fois ?

Je revois leurs messages de sympathie, je me souviens de leurs conseils ! Ils étaient tous à soutenir ma prise de recul en juillet dernier et la semaine suivante, un autre prenait ma place. Quelle honte !

Notre Villepreux : Est-ce que vous comprenez l’inquiétude des Villepreusiens sur une bétonisation rapide de la ville alors que les infrastructures ne sont pas encore adaptées à la venue de ces milliers de personnes supplémentaires, qu’il y a un doute sur la date de la livraison effective et à temps de l’école des hauts du moulin, que l’effectif de la police doit évoluer et que l’entretien des espaces publiques est devenu aléatoire depuis le transfert des services vers St Quentin.

Stéphane Mirambeau : il y a plusieurs questions en même temps et ces éléments pourraient être traités en détail.

Concernant l’école, je fais tout accompagné des services de la ville pour qu’elle soit livrée en temps et en heure. Je peux vous assurer que rien n’est simple et je sais une chose. Si j’avais démissionné comme certains le voulaient, l’école n’aurait été jamais prête en septembre. Quelle preuve d’irresponsabilité de leur part !

Je refuse le terme bétonisation. Il suffit de regarder ce qui s’est passé en 12 ans. Un immeuble Franco-Suisse à la place des vieux services techniques près de la Mairie, un immeuble en construction au Val Joyeux à la place d’un club incertain, d’un vieux garage et les Hauts-du-Moulin. Je peux comprendre que certains souhaitent qu’on ralentisse mais ce mot n’est absolument pas adapté. Concernant la centralité, elle n’a pas été comprise par certains. C’est un fait et il vaudrait mieux aujourd’hui mettre en sommeil ce projet en se concentrant sur la fin des autres projets en cours.

Au sujet des infrastructures, il manque aujourd’hui une salle multi-sports mais disons-le également car c’est important. Sans projet d’envergure, cette nouvelle salle ne verra pas le jour dans les prochaines années. On ne peut pas tout et son contraire. Certains membres de mon équipe voulaient l’implanter en lieu et place de la piscine. Je m’y suis toujours opposé car cette décision était faite dans le dos des Villepreusiens.

La Police Municipale est un véritable sujet et malgré les efforts faits, nous devons constater que nous n’arrivons pas à maintenir sur le long terme nos effectifs. Bien souvent, ils viennent dans des villes de notre strate pour se faire une expérience et partent ailleurs. Il est extrêmement difficile de rivaliser avec des villes beaucoup plus riches. Nous avons cependant investi fortement mais il reste encore à faire.

Sur SQY pour finir, c’est un sujet et le passage dans cette intercommunalité a fait perdre de la réactivité. Nous avons aujourd’hui une intercommunalité qui fonctionne mais qui présente encore des choses à améliorer pour être plus proches des habitants. Ce sera tout l’enjeu des prochaines années et un sujet sur lequel je souhaite travailler activement.

Notre Villepreux : Qu’est-ce que vous pouvez nous dire sur le projet « Central Park » et le rejet de la population et le souhait de notre mouvement de suspendre le projet.

Stéphane Mirambeau : Comme je vous l’ai dit, je suis aligné avec cette proposition. Ce projet est un beau projet mais il n’y a aucune urgence à le mettre en œuvre immédiatement. Intégrons au mieux la nouvelle population, optimisons nos structures, revoyons la carte scolaire et nous pourrons alors, pourquoi pas dans 6 ans, le revoir.

J’insiste également que j’ai toujours joué la carte de la transparence absolue sur « Central Park » et bien souvent, alors que certains m’accusent du contraire, j’ai du temporiser la volonté de certains membres de mon équipe. Je me souviens encore de mes anciens adjoints, M. Blancquart et M. Essling, avoir comme projet de financer « Central Park » par la destruction de la salle Petrucciani pour y construire plus de 300 nouveaux logements et sans prévenir auparavant les villepreusiens. Comme dans le cas de la piscine, on affiche des choses mais on prévoit autre chose. Je trouve ce procédé totalement scandaleux de la part de ceux qui veulent aujourd’hui incarner la moralité !

Et le pire est que bien évidemment, ces mêmes personnes dont Laurent Blancquart clâment ne plus vouloir de ce projet, je suis effaré. Est-ce vraiment cela que Villepreux mérite aujourd’hui ? Des élus sans constance et sans parole. Il faut que chacun assume ces choix même difficiles !

Notre Villepreux : Que dites-vous de votre réaction rigide et expéditive des habitants des pavillons de Green Lodge qui était confrontés à une rotation importante de 140 passages de gros bus diesel samedi et dimanche devant leur maison ? nous avons rencontré ces habitants venant de Noisy le roi ou de la petite couronne. Ils ont acheté un rêve vendu par Kaufman et ils trouvent un cauchemar. Ils étaient en pleur ! comment ne pas être sensible.

Stéphane Mirambeau : Encore une fois, ce sujet est délicat car il couple « intérêt général » et « intérêt particulier ». Cette ligne de bus était prévue depuis le début du projet et je ne peux pas être tenu responsable du « rêve » vendu par le promoteur et de sa non vérité.

Par contre, j’ai moi-même été dans le sens de SQY et de M. Essling qui ont adopté une position extrêmement rigide. J’avais reçu les habitants qui soufrent du parcours de ces bus. J’étais globalement en ligne avec eux car je trouve encore aujourd’hui que les rotations sont déraisonnables. J’avais moi-même envisagé certaines solutions. Elles ont été classées sans suite par les services de SQY sous l’influence de M. Essling.

J’aurais dû être plus directif et je relie cette remarque avec une autre dite précédemment. Il faut certaines fois faire preuve d’arrogance avec SQY pour se faire entendre. Cela m’a servi de leçon je peux vous l’assurer.

Notre Vilelpreux : Finalement vous êtes d’accord avec tout ? alors qu’il y a 6 mois, c’était indiscutable.

Stéphane Mirambeau : Je maintiens mes priorités, celle de l’intérêt général, de la nécessité d’assurer une indépendance budgétaire, de l’impossibilité de tout promettre et toutes ces choses qui font mon quotidien.

Après, je dois aussi écouter les retours du terrain et trouver un consensus pour que les choses soient acceptés. Geler le projet « Central Park » pendant quelques années ne remet pas en cause la qualité du projet et ce sur quoi j’ai travaillé. Dire que des bus n’ont pas vocation à passer 140 fois par jour ne remet pas en cause la nécessité de travailler pour l’intérêt général. Ce ne sont que deux exemples et je pourrai en trouver d’autres.

Et au-delà, j’ai effectivement changé et ce que j’ai vécu cet été m’a sûrement transformé. Je souhaite repartir aujourd’hui avec une nouvelle équipe, avec de nouvelles personnes et en pleine écoute de la population.

Je ne renierai cependant rien de mes valeurs et de mes priorités.

Notre Villepreux : Est ce que la population peut encore vous faire confiance ?

Stéphane Mirambeau : C’est à elle qu’il faut le demander mais pourquoi ne le ferait-elle pas ? Je ne promets pas des rêves mais je m’appuie sur la réalité des collectivités que je vis depuis 12 ans. Chacun agira comme il le souhaite mais qu’il regarde avec beaucoup de recul tout ce qui a été fait depuis 2008 et les résultats dans mon bilan.

J’ajouterai aussi qu’à la différence de certains, je n’ai abandonné personne et je suis toujours aux commandes. Ce fut le cas pour la gestion de l’arrivée des migrants, c’est le cas pour le groupe scolaire, pour le fonctionnement des services et le reste !

Le capitaine est toujours bien présent.

Notre Villepreux : En toute honnêteté, nous sommes conscients que malgré les critiques et quelques évolutions négatives, vous avez beaucoup fait pour la ville, Villepreux est désendettée et il s’agit d’un modèle au niveau national, vous avez fait construire de nouveaux quartiers où nous avons acheté. comment expliquez que ce bilan soit passé sous silence ?

Stéphane Mirambeau : Je souhaite revenir sur les critiques. Je dois vous avouer être surpris de lire qu’aujourd’hui, je serais critiqué de partout et malgré ce que j’ai fait et fait encore pour la commune. En mai dernier, certains me voyaient réélu encore à plus de 60% et aujourd’hui, je suis le Maire des évolutions négatives. Sur ce point, je ne peux pas être en phase avec vous. Il y a 20 ans, beaucoup venaient à Villepreux car les logements étaient simplement moins chers qu’ailleurs. Certains aimaient évidemment la ville mais d’autres y arrivaient par défaut. C’est tout l’inverse aujourd’hui. On choisit Villepreux pour Villepreux et notamment pour tout ce qui a été fait depuis des années. Après, on peut aussi se languir du passé mais reconnaissons aussi que la ville s’est appréciée depuis 12 ans !

Et pour le reste, plus de 70% de désendettement, aucune augmentation d’impôt, des investissements sans précédent et le reste ! Alors, sortons un peu du « Mirambeau basching » et recouvrons tous nos esprits.

Notre Villerpeux : Monsieur Le maire, Villepreux est devenu une ville dortoir, le théâtre a fermé, il n’y a plus de commerce dans la vieille ville.

Stéphane Mirambeau : Ecoute sans réponse. Nous devons vivre avec nos spécificités et nos possibilités. Encore une fois, ces sujets ne peuvent pas être traités aussi rapidement. SQY reverse près de 6 millions d’euros en relation avec la fiscalité professionnelle à la ville des Clayes-sous-Bois. Pour nous, ce sont 600 K€, soit 10 fois moins. Je veux bien après qu’on me demande de faire les mêmes choses qu’aux Clayes-sous-Bois mais ce ne sera pas possible et ceux qui disent le contraire mentent tout simplement.

Je note aussi qu’encore une fois, on relève les points négatifs mais voyons aussi le positif. Des gens de Paris, des Hauts-de-Seine, de Versailles, du Chesnay, choisissent Villepreux pour leur projet de vie ! Les nouvelles constructions de K&B se sont vendues extrêmement rapidement. Si Villepreux était à ce point une ville dortoir sans commerce et sans vie, pourquoi alors viendraient-ils ici ? Encore une fois, je note qu’on se plait bien trop souvent à regarder ce qui ne va pas et à oublier le reste.

Bien évidemment, il faut travailler encore à l’attractivité de la commune mais n’oublions pas d’où nous venons aussi !

Notre Villepreux : Monsieur Le maire, mais si tous ces conseillers n’étaient pas fiables et pas à la hauteur, pourquoi les avoir choisis et avoir travaillé avec eux pendant toutes ces années.

Stéphane Mirambeau : Je dirais que la fiabilité de certains ne peut être confirmé que sur le long terme et qu’on se rend compte du contraire souvent bien trop tard. Même si l’image d’Epinal laisse à penser que c’est l’équipe qui gère la commune, il faut bien avoir à l’esprit que c’est le Maire en particulier. Il suffit une nouvelle fois de regarder ce qui se passe dans la ville depuis plusieurs mois. Les membres de mon équipe m’ont trahi et sont partis et alors ? La ville continue de fonctionner car c’est bien le Maire qui est aux commandes.

Mais votre remarque a évidemment du sens. Il est difficile cependant de trouver des habitants voulant s’engager et alors que les vocations sont de plus en plus rares. Ce qu’on entend dans les medias ne donnent pas envie de s’engager. C’est dommage car les élus locaux sont un maillon indispensable à notre République.

Mais votre remarque a vraiment du sens et je devrai sûrement choisir les membres de mon équipe d’une manière différente .

Notre Villepreux : Monsieur le Maire, nous avons réalisé un site Internet qui expose toutes nos préoccupations et retours de la population et les solutions proposées.

Stéphane Mirambeau : Je vais bien évidemment le regarder et avec la plus grande des attentions. Tout le monde doit participer au débat et je proposerai moi-même des idées innovantes pour intégrer la population encore davantage dans le circuit des décisions.

Je me permets une remarque concernant les retours de la population. Il faut bien se méfier souvent de croire que quelques retours représentent la population. J’ai moi-même fait cette erreur au cours de mes 12 ans de mandat.

Notre Villepreux : Monsieur le Maire, pourquoi faire une nouvelle liste aujourd’hui ? dans le contexte actuel où tous les adjoints vous ont abandonné ? n’êtes-vous pas animé par un esprit de revanche ? que nous pouvons comprendre ?

Stéphane Mirambeau : Je pourrai être animé par la colère, la haine même et l’esprit de revanche. J’en aurai le droit mais je m’y refuse. Je souhaite repartir aujourd’hui car il est déjà intolérable que des personnes m’ayant lâché et trahi puissent aujourd’hui revendiquer mon bilan.

J’ose le dire même si certains diront une nouvelle fois que je suis arrogant mais ce bilan, qu’on l’apprécie ou non, est avant tout le mien.

Je ne peux pas dire aujourd’hui que je suis un nouvel homme mais j’ai réellement changé. Je peux apporter encore beaucoup pour la commune, en tant que Maire évidemment mais même en tant qu’élu. Quand on aime sa ville, on veut avant tout qu’elle réussisse.

Je terminerai en disant qu’il faut garder à l’esprit que Villepreux ne sera jamais sortie d’affaire. Les finances de la commune restent un élément crucial et d’attention. Tous ceux qui vous promettront du rêve sont des menteurs et des irresponsables.

Après, à nous aussi d’envisager le futur avec optimisme et à améliorer encore les choses dans notre commune.

Notre Villepreux : Monsieur le Maire, nous allons vous adresser un questionnaire sur 20 points clefs, si vous prenez en compte nos revendications pour la ville, si les soutiens et collègues à la tête du mouvement « Notre Villepreux » seraient d’accord à collaborer avec vous, ce qui nécessiterait leur consultation en raison du contexte actuel. Comme nous le proposons à chaque candidat, seriez-vous d’accord de vous engager à prendre au minimum 2 adjoints au maire (urbanisme et culture) et 2 conseillers sur votre liste en position éligible afin que nous veillons à la défense nos souhaits.

Stéphane Mirambeau : Pour l’instant, je constitue une liste avec mes soutiens.  Par contre, toutes les bonnes volontés sont les bienvenues et indépendamment de leur couleur politique.

Notre Villepreux : Merci Monsieur le Maire, merci de nous avoir accueilli, désormais nous arrivons au terme de notre entretien qui sera rendu public en toute transparence et nous allons vous adresser notre questionnaire et analyser avec nos amis vos réponses.

Stéphane Mirambeau avant de fermer la porte: C’est moi qui vous remercie pour cet entretien constructif et je suis persuadé que nous allons pouvoir faire quelque chose ensemble et pour la ville. Merci.

2 Réponses à “Rencontre et discussion franches avec Stéphane Mirambeau, Maire de Villepreux”

    1. Pour l'instant Monsieur le Maire est le seul à avoir la stature de la fonction malgré tout ce que j'ai pu lui dire sur lui. L'exercice était difficile pour lui. Je peux vous le confirmer. A aucun moment il ne nous a méprisés ! traité de malhonnête ! d'amateur ! d'indigne ! ou menacés de plainte !
      Cordialement

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